Les traditions martiales associées à Shintō Musō Ryū Jō
Les cinq traditions martiales suivantes sont pleinement associées à l’étude de Shintō Musō Ryū Jō, et font partie intégrale de la tradition martiale Shintō Musō Ryū et de son cursus complet d’enseignement.
L’étude de Shintō Ryū Kenjutsu, utilisant Ken et/ou Kodachi, intervient dans les toutes premières années de la pratique de SMR Jō, souvent en parallèle de l'étude de la série Omote ou Chūdan.
L’étude de Uchida Ryū Tanjojutsu, utilisant Tanjo et Ken, intervient un peu plus tard dans la pratique de SMR Jō, lorsque la série Chudan a été étudiée.
Les deux traditions martiales suivantes,
. Isshin Ryū Kusarigamajutsu, utilisant Kusarigama et Ken, ainsi que Yari et Ken pour les 2 derniers Kata de la série Okuden,
. Ikkaku Ryū Juttejutsu, utilisant Jutte avec ou sans Tessen et Iaitō,
sont étudiées beaucoup plus tardivement, un fois que le Shūgyōsha a notamment complété les 7 séries du cursus complet en Jō de Shintō Musō Ryū Jō.
Quelques informations complémentaires pour ces quatre premières traditions martiales
http://jodo.fr/armes.html
Ittatsu Ryū Hojōjutsu est l'une des nombreuses écoles de ligature d'un prisonnier lors de sa capture, ou de son transport et de sa présentation devant les autorités ou le public.
Cette tradition martiale japonaise est très ancienne.
Elle utilise une cordelette tressée de chanvre ou parfois de coton, de 3,5 mm de diamètre et d’environ 5 mètres de long pour Hayanawa (ou corde "Rapide" - 4 Kata), et de longueur plus importante de 9 à 20 mètres pour Honnawa (ou corde "Maîtresse" - 21 Kata).
Son étude est réservée aux enseignants de la FEJ, et depuis le Gasshuku à Chmielno en août 2021 aux détenteurs d’un certificat Sei-Ryū-Kai, qui le souhaitent.